Covid 19 et retail : Timeskipper revient sur la gestion de la crise sanitaire
Dans le dernier numéro du magazine Informations Entreprise, actuellement en kiosque, l’équipe Timeskipper revient sur la gestion de la crise sanitaire.
Le secteur de la distribution répond à des enjeux multiples et vitaux depuis une décennie, tels que la mutation des habitudes de consommation, l’ancrage de l’omnicanal, une compétition toujours plus féroce … la crise sanitaire liée à la Covid 19 en ayant décuplé la complexité. Une chose est certaine, les acteurs du retail font preuve de réactivité et de créativité sur tous les fronts depuis plusieurs mois. Et ce n’est pas chose aisée.
A ce titre, l’équipe Timeskipper – solution de pilotage d’activité dédiée au retail – revient sur la gestion de cette crise en point de vente. Comment est-il possible d’améliorer simultanément l’organisation et les conditions de travail des collaborateurs de la distribution, l’expérience client et la rentabilité du magasin, et ce, même – et surtout- en ces temps mouvementés ? Suivez les experts !
Pierre Liobard, Geoffroy d’Argenlieu, Pierre-Yves Blanchard et Antoine Gibert
Quels enjeux sanitaires et économiques pour la distribution ?
Le secteur du retail n’a pas été épargné par la crise. Alors que les GSA faisaient face à l’explosion de la consommation – et des ruptures ! – de biens de première nécessité, ainsi qu’à l’enraiement rapide des différentes chaînes logistiques, les GSS fermaient purement et simplement. Les points de vente, quel que soit leur domaine d’activité, distribution alimentaire ou spécialisée, ont donc du parer au plus pressé pour survivre à la tempête. Sur fond de crainte de la contamination, il a fallu s’adapter, en mettant en place, à la fois des dispositifs de protection pour les clients et les collaborateurs, mais aussi en accélérant les modèles de distribution omnicanale. On a ainsi pu constater une envolée du recours aux services de livraison à domicile, et de Click and Collect avec Drive véhiculé ou piéton.
Si ces leviers de croissance sont essentiels à la poursuite de l’activité économique, ils supposent également une véritable capacité à la flexibilité, pour gérer la crise dans son immédiateté, ses contraintes organisationnelles, ses issues incertaines, et ce, au jour le jour, jusqu’à une reprise qui présentera elle aussi son lot de challenges. Qu’en est-il de leur mise en œuvre ?
Comment s’organiser en point de vente, pour répondre à ces enjeux ?
L’objectif est non discutable : le service proposé en point de vente doit non seulement s’adapter en permanence à l‘instabilité du contexte, mais aussi être amélioré, pour développer les nouveaux canaux de distribution, et gagner des parts de marché. Un exercice qui nécessite de savoir allouer les ressources présentes à une charge de travail donnée, à chaque moment de la journée… autrement dit, être en mesure de piloter l’activité.
Cela implique que les équipes présentes répondent aux besoins de l’activité, en fonction des priorités et des objectifs, quelle qu’en soit l’évolution au cours de la journée, même si cela exige de faire mieux avec les mêmes voire moins.
Et ce qui est vrai au cœur de la crise, le sera également lors de la reprise et du retour à la normale : il faudra donc toujours optimiser l’allocation des ressources au volume de travail, le pilotage d’activité étant garant de la trésorerie, de l’emploi et de la rentabilité d’une entreprise … ce qui constitue le cœur de métier de Timeskipper !
Vous souhaitez en savoir plus
sur la plateforme de pilotage TimeSkipper
L’outil de pilotage d’activité Timeskipper pour parer à cette problématique au quotidien
L’atout de la plateforme Timeskipper consiste en la représentation d’une vision de l’organisation du travail des collaborateurs, qu’ils soient 10 ou plus de 250, en temps réel. L’outil sait d’une part, mesurer l’impact d’une baisse ou d’une hausse d’activité sur le volume de travail, à un instant t, grâce à l’intégration des différents flux du point de vente. Il possède également la capacité de quantifier et y adapter les ressources, selon les priorités et les objectifs, en identifiant les surcharges et les heures perdues.
En effet, dans les grandes surfaces alimentaires (GSA) comme spécialisées (GSS), il est estimé que 20% à 30% du temps de travail est mal utilisé. Ainsi, les collaborateurs pour lesquels il aura été identifié des heures disponibles vont être réaffectés de manière automatique et équitable, à l’absorption d’un pic d’activité, au bon fonctionnement des nouveaux dispositifs de distribution omnicanale, et dans tous les cas à l’expérience client : la flexibilité mais en douceur.
Et en cas de rab de temps (oui, c’est possible !) les heures pourront être économisées … un véritable levier de rentabilité, enjeu essentiel à la survie des points de vente, en particulier dans le contexte économique actuel.
Timeskipper constitue un atout significatif pour matérialiser et pérenniser les nouvelles pratiques de travail tout en absorbant leur coût. L’outil représente également l’avantage différenciant, qui accompagnera la reprise et le développement des enseignes de la distribution alimentaire et spécialisée, de 10 à plus de 250 collaborateurs.
Découvrez l’intégralité de l’articlé publié dans le magazine Informations Entreprise : lire l’intégralité de l’article
NEWSLETTER